René QUINTON

Né le 15 décembre 1866 à Chaumes-en Brie (Seine-et-Marne), et mort le 9 juillet 1925 à Paris.

Physiologiste français ayant acquis une célébrité internationale grâce à ses découvertes sur l’eau de mer. Il saisit la similitude du milieu marin avec la composition du plasma sanguin, dont il déduit toute la chronologie de l’évolution des espèces, à partir de la vie marine, puis terrestre, et aérienne, pour terminer par les conséquences thérapeutiques qui en découlent inéluctablement. Il crée avec cet esprit dans toute la France, ses célèbres « Dispensaires Marins ». En 1914, il monte volontairement au front, dont il rapportera de multiples et profondes blessures. Il aura depuis lors un rôle novateur dans l’essor de l’aviation française et de l’aérodynamisme, en particulier dans l’étude du vol à voile. Son  œuvre magistrale, en particulier pour l’art médical, scotomisée depuis par les milieux dits scientifiques, n’a heureusement rien perdu de son souffle évolutionnaire, voire révolutionnaire.

Les articles de ce site ont trait à une recherche privée gardant l’esprit de ce grand savant, à travers quelques conférences et articles de Marie-José et Nicolas Stelling. Madame Monika Ramseyer a prêté son infinie compétence dans les études du sang vivant en microscopie à fond noir.

Pour toute l’œuvre de René Quinton, nous ne pouvons que recommander de se documenter en lisant un certain nombre d’ouvrages (Se reporter à la Bibliographie) :

  • L’Eau de Mer, Milieu Organique
    René Quinton 1904, réédition  Edition Encre 1995.
  • Le secret de nos origines révélé par René Quinton.
    André Mahé 1962, réédition Le Courrier du Livre 1990.
  • Quinton, le sérum de la vie
    Maxence Layet et  Jean-Claude Rodet, Le Courrier du Livre 2008, 2ème éd. 2009

Ainsi que voir le DVD « Paroles de Quinton »  N°1, de Jean-Yves Bilien, 2008. (Dr François Epineuse, Dr Marie-José Stelling et quelques « bonus »).

Consulter aussi les sites indiqués dans la bibliographie.

Pour toutes questions relatives, entre autre, à la thérapeutique, l’utilisation du courriel est requis, ou le fax. Nous vous saurions gré de bien lire l’article « Injections » avant toute remarques sur ce sujet controversé. Nous répondons volontiers aux questions, si possible d’ordre général, mais nous ne donnons pas de consultations téléphoniques.